https://youtu.be/cBv04VOR22w?si=gEIkt1ddZBDNZlaT
Firebarzzz présente🔥: « Michael Jordan contre le load management – une thèse en aventure »
Citation:
-« Parcourir l’argument, vivre l’expression, tirer des leçons – même pour ceux qui ne sont pas sportifs.« – Firebarzzz.
Quand Michael Jordan prend le micro chez NBC pour parler du load management, ce n’est pas une leçon technique. C’est une provocation morale et un récit de terrain. Sa position ? Si tu peux jouer, tu joues – parce que les fans, l’équipe et ta propre fierté comptent plus que la planification froide du repos. Voici pourquoi ça nous concerne tous – basketteurs, salariés, managers – et comment transformer ce débat en action concrète.
🏀 Simplicité…
Le load management a un sens physiologique, mais il ne doit jamais remplacer la responsabilité éthique et collective d’être présent quand on peut l’être. Michael Jordan le dit sans détour : « Ça ne devrait pas être nécessaire, avant toute chose. » Être payé pour performer implique un devoir envers ceux qui paient, et envers ses coéquipiers.
🏆 Professionnalisme…
https://youtu.be/Bpv7wPgoFBM?si=Uu0oC3yQqHtOkjJ1
Jordan raconte comme un athlète qui a fait du terrain son école de vie : cheville tordue, refus de s’asseoir, chevet des opportunités. Il refuse l’idée de se « préserver » pour une statistique ; il choisit de saisir la scène – même s’il doit la jouer blessé. Le fameux Flu Game devient l’icône de cet état d’esprit : on ne sait jamais ce qui peut surgir quand on pousse au-delà des plans et qu’on se jette dans l’arène.
Sa lecture du load management est double : oui, le travail physique exige une gestion, mais la vraie préparation se joue sur les 21 autres heures de la journée – préparation mentale, alimentation, récupération active. Et surtout, il ajoute trois garde-fous moraux : le respect des fans, la nécessité de rester affûté, et la préservation du rythme collectif.
🚨 Pourquoi ça devient viral (et pourquoi tu t’en soucies)
- C’est émotionnel. Jordan parle du type en haut des tribunes — réel, furieux, humain. Les gens réagissent aux histoires humaines, pas aux tableaux Excel.
- C’est polarisant. Tu es pour la performance coûte que coûte ? Tu es pour la planification scientifique ? La polarisation attire le débat, donc la viralité.
- Ça s’applique partout. Remplace « match » par « deadline », « client », « réunion décisive » : l’éthique de présence s’applique au travail, à la parentalité, à la création.
🎙️ Traduction en actions : 5 leçons pratiques (pour joueurs et travailleurs)
- Vérifie la douleur, pas l’envie. Si ton corps te limite vraiment, repose-toi. Si c’est la démotivation, interroge tes priorités.
- Prépare les 21 heures hors scène. Sommeil, micro-routines, alimentation et mini-sessions de préparation cognitive font toute la différence.
- Priorise la responsabilité collective. Ne sacrifie pas le rythme d’équipe pour une gestion individuelle mal pensée.
- Évite l’abus de planification froide. Le calendrier ne doit pas occulter l’opportunité (un meeting clé, un match important). Pèse coût vs valeur.
- Communique et négocie. Si tu dois te préserver, explique-le aux parties prenantes — transparence > absences surprises.
✨Conclusion provocatrice
Michael Jordan ne vend pas un modèle infaillible — il vend une philosophie : la présence est une forme de respect et parfois la seule façon d’atteindre l’extraordinaire. Load management ? Oui, mais pas au prix de l’engagement. Et si on appliquait ça demain à nos réunions, nos rendez-vous, nos objectifs ? Qui voudrait rater sa chance par commodité ?
(Source : intervention de Michael Jordan sur NBC, via @NBAonNBC — citations fournies.)
https://youtube.com/@nbcnews?si=malgTxkQMd-RLQ2A
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