Stephen Curry, Démontre encore une fois qu’il reste l’artificier Numéro Uno de la NBA en ce Samedi 10 février 2024.
📍La Note Firebarzzz
Dans l’obscurité des salles de sport, là où les cris de victoire et les lamentations des défaites se mêlent dans une symphonie de compétition, se tient un homme à l’apparence angélique, mais dont les actions dévoilent une autre vérité. Son visage éthéré, encadré par des boucles dorées, lui confère l’aspect d’un être céleste, mais son talent sur le parquet révèle une tout autre nature.
Il ne porte pas d’armes mortelles, ne traque pas ses victimes dans l’ombre des ruelles sombres. Au lieu de cela, il manie un objet bien plus inattendu : un ballon de basket. Son arme de prédilection est son bras droit, capable de lancer des projectiles avec une précision chirurgicale incroyable.
Dans les moments cruciaux, lorsqu’une victoire pend au bout d’un fil tendu, c’est lui que son équipe appelle. Le « moneytime », comme on l’appelle dans le jargon du basket, est son domaine de prédilection. Alors que les secondes s’égrennent, il se tient là, calme et concentré, ses traits angéliques masquant la détermination féroce qui brûle en lui.
À chaque coup de sifflet strident, il se dévoile, se transformant en un assassin implacable. Ses mouvements sont fluides, presque gracieux, mais derrière cette façade de grâce se cache une volonté de fer. Il vise, il tire, et le ballon fend l’air, décrivant une trajectoire parfaite avant de disparaître dans le filet avec un bruit sec et satisfaisant.
Les supporters retiennent leur souffle, les adversaires se figent dans l’incrédulité. Encore et encore, il répète son rituel, inscrivant des paniers à trois points qui semblent provenir d’un autre monde. Chaque tir est un coup de grâce, une lame invisible qui transperce les espoirs de ses adversaires.
Et quand le buzzer final retentit, c’est lui qui reste debout, au centre de l’arène, le visage impassible, le regard brillant d’une satisfaction tranquille. Il est l’ange de la victoire, l’assassin au visage d’ange, dont les exploits sur le terrain resteront gravés dans les mémoires, bien longtemps après que la foule aura quitté les gradins.
Big Up’ Champion’…
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