L’histoire peu connue derrière la chanson « They Don’t Care About US » de Michael Jackson.


L’histoire peu connue derrière la La chanson « They Don’t Care About US » de Michael Jackson.

10/03/2024

Plongez dans l’histoire captivante où la légende Michael Jackson croise le chemin improbable du baron de la drogue brésilien Marcinho VP, sous l’œil vigilant du réalisateur visionnaire Spike Lee. Découvrez comment une négociation risquée a assuré la sécurité du tournage dans les favelas de Rio. Cette saga épique révèle la rencontre de deux mondes opposés, unis par la passion pour l’art et la musique.

Explorez l’essence de la créativité, défiant les frontières et transcendant les préjugés, dans une collaboration qui a marqué l’histoire et la culture.

Oserez-vous plonger dans ce récit où la musique et le cinéma forgent des liens immortels ?


MICHAEL JACKSON à DONA MARTA, BRAZIL (1996).


La Note Firebarzzz

« Nous n’avons pas payé un centime. Je viens de demander la permission. Ce type était un grand fan de Michael Jackson. »

– Spike Lee

Dans les annales tumultueuses de l’histoire du cinéma, certaines rencontres défient l’imagination, ébranlent les normes et marquent les esprits pour l’éternité. C’est dans cet esprit que nous nous plongeons dans le récit fascinant de la collaboration improbable entre le roi de la pop, Michael Jackson, et le baron de la drogue brésilien, Marcio Amaro De Oliveira, plus connu sous le nom de Marcinho VP.

Au cœur de cette saga trépidante se trouve le visionnaire du cinéma, Spike Lee, un maître dans l’art de capturer l’essence même de la culture à travers le prisme de sa caméra. C’est lui qui, en 1996, s’est aventuré dans les rues animées des favelas de Rio de Janeiro pour donner vie au tube emblématique de Michael Jackson, « They Don’t Care About Us ».

L’histoire prend une tournure inattendue lorsque Spike Lee se retrouve face à un dilemme sécuritaire de taille : comment filmer dans un territoire contrôlé par l’impitoyable Marcinho VP sans compromettre la sécurité de sa star mondiale, Michael Jackson ? La réponse, aussi audacieuse qu’improbable, réside dans une négociation aussi surprenante que risquée.

Marcinho VP, décrit comme un baron de la drogue impitoyable, se révèle être un fervent admirateur de Michael Jackson. Dans un retournement de situation digne des plus grands scénarios hollywoodiens, il offre à Spike Lee une proposition aussi intrigante que surréaliste : déposer un million de dollars dans les rues de la favela et sur le lieu de tournage, garantissant ainsi la sécurité absolue de l’équipe et de son précieux équipement.

Spike Lee, animé par son insatiable quête de l’authenticité, confie cette mission délicate à Kátia Lund, une jeune diplômée brésilienne imprégnée de la culture des favelas. Armée de courage et de détermination, elle se lance dans une négociation périlleuse avec Marcinho VP, établissant un pont improbable entre deux mondes en apparence diamétralement opposés.

Au cœur de ce récit trépidant se dressent deux figures emblématiques : d’un côté, Michael Jackson, le prodige de la musique, symbole de paix et d’unité à travers le monde, et de l’autre, Marcinho VP, l’énigmatique baron de la drogue, révélant une passion insoupçonnée pour l’art et la musique.

L’histoire de cette rencontre improbable entre deux univers que tout semblait opposer illustre la capacité du génie créatif à transcender les frontières, à défier les conventions et à tisser des liens inattendus. Au-delà des barrières sociales et des préjugés, elle révèle la puissance de la musique et du cinéma à unir les âmes, à susciter l’émotion et à écrire, ne serait-ce qu’un instant, une page d’histoire indélébile.

Dans le sillage de cette collaboration extraordinaire, le clip de « They Don’t Care About Us » demeure un témoignage immortel de l’audace artistique, de la résilience humaine et de la capacité à transcender les frontières pour donner naissance à une œuvre intemporelle, portée par la magie de l’art et l’unité de la musique.


📍Écrit et composé par Michael Jackson
Produit par Michael Jackson pour MJJ Productions, Inc.
Extrait de l’album HIStory : Past, Present and Future—Book I , sorti le 20 juin 1995
Sorti en single le 31 mars 1996

LE COURT MÉTRAGE
Réalisateur : Spike Lee
Lieux de production primaires : Rio De Janeiro (Dona Marta dans le quartier Botafogo) et Salvador de Bahia, Brésil


📍Spike Lee a réalisé deux courts métrages pour « They Don’t Care About Us » de Michael Jackson. Cette version a été tournée dans une prison et n’a été diffusée qu’à certaines heures en raison d’un contenu controversé.


📍Lyrics

All I want to say is that they don’t really care about us
Don’t worry what people say, we know the truth
All I want to say is that they don’t really care about us
Enough is enough of this garbage
All I want to say is that they don’t really care about us

Skin head, dead head
Everybody gone bad
Situation aggravation
Everybody, allegation
In the suite on the news
Everybody, dog food
Bang-bang, shock dead
Everybody’s gone mad

Beat me, hate me
You can never break me
Will me, thrill me
You can never kill me
Jew me, sue me
Everybody, do me
Kick me, kike me
Don’t you black or white me

All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us

Tell me what has become of my life
I have a wife and two children who love me
I’m a victim of police brutality, now (Mhhm)
I’m tired of bein’ the victim of hate
Your rapin’ me of my pride
Oh, for God’s sake
I look to heaven to fulfill its prophecy…
Set me free

Skin head, dead head
Everybody, gone bad
Trepidation speculation
Everybody, allegation
In the suite on the news
Everybody, dog food
Black man, black mail
Throw the brother in jail

All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us

Tell me what has become of my rights
Am I invisible ’cause you ignore me?
Your proclamation promised me free liberty, now
I’m tired of bein’ the victim of shame
They’re throwin’ me in a class with a bad name
I can’t believe this is the land from which I came
You know I really do hate to say it
The government don’t wanna see
But it Roosevelt was livin’, he wouldn’t let this be, no, no

Skinhead, deadhead
Everybody, gone bad
Situation, speculation
Everybody, litigation
Beat me, bash me
You can never trash me
Hit me, kick me
You can never get me

All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us

Some things in life they just don’t wanna see (Ah)
But if Martin Luther was livin’
He wouldn’t let this be, no, no

Skinhead, deadhead (Yeah, yeah)
Everybody’s gone bad
Situation, segregation (Woo-hoo)
Everybody, allegation
In the suite on the news
Everybody dog food (Woo-ho)
Kick me, kike me
Don’t you wrong or right me

All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us
All I wanna say is that they don’t really care about us


📍Márcio Amaro de Oliveira , alias Marcinho VP (1970 – 2003)

Clique sur l’image

Michael Jackson – They Don’t Care About Us (Prison Version) (Official Video)

Michael Jackson

Liens

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Author: Firebarzzz

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